Maroc: des cafés littéraires sous l’enseigne de la convivialité Nathalie Galesne Kenza Sefrioui Elle a la grâce d’une gazelle et l’énergie d’une battante comme les deux syllabes de son prénom qui claquent sous le palais quand on la nomme. Fille d’un couple d’avocats -maman française, papa marocain- elle a grandi à l’ombre de la tour Eiffel avant de s’installer à Casablanca. Un doctorat en poche, fraîchement et brillament obtenu à la Sorbonne sur la revue “Souffles”, et un amour puissant pour les deux langues qui ont bercé son imaginaire, ont poussé cette jeune journaliste à s’allier à un groupe d’intellectuels pour lancer des cafés littéraires dans plusieurs villes marocaines. Le succès ne s’est pas fait attendre… Entretien avec Kenza Sefrioui. Quand est née l’idée des Cafés littéraires de Rabat? La suite sur babelmed.net Je salue cette initiative de Kenza Sefrioui et de son groupe d'amis, que je viens de découvrir hier soir ...
Attitudes de la société Marocaine, du point de vue du marocain de base que je suis, qui sont insensées ou inappropriées pour un pays en "voie en développement" Cet espace porte le nom de 20-02 en hommage au 20 février. Bien qu'en tant que blogueur je n'adhère pas à ce mouvement, je lui reconnais avoir insufflé un certain courage à la société civile marocaine. Je nourris cet espace de mes pensées en toute liberté et à l'actualité marocaine qui me touche, qu'elles soient bonnes ou mauvaises.