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Affichage des articles du 2014

Le festival international de cinéma et mémoire commune de Nador, 3e éditions : Quel cinéma !

L'impression générale qui restera pour moi est la grande désorganisation et le non respect de la programmation, des horaires de projections avec des annulations intempestives et des programmations de dernière minutes. Le plus intéressant , les débats sur les films n'ont pas eu lieu. Ils ont été simplement annulés. Dans son interview accordé à libération Mr Mohamed Achaari , président du jury est courtois et gentil . Il reconnait aussi la mauvaise programmation.   Quel est donc l'intérêt pour un festival de cinéma si les habitants normaux , qui ne sont pas des notables , n 'en profitent pas ? Pour le rappeler, il n y  a plus de salle de cinéma à Nador.  Les conditions de projections sont déplorables. Même les membres du jury ne peuvent pas assister à toutes les projections sur ces chaises de traiteur ! et de salle d'attente ! La presse dira que tout va bien , mais pour y avoir assister, je peux rapporter cela , en espérant que cela se passe mieux aux p

Festival international de cinéma et mémoire commune de nador , dans la désorganisation totale

Quand j'ai vu passer l'information de cette 3 édition du festival international de cinéma et mémoire commune de Nador, cela m'a intéressé. Car la mémoire est importante et j'ai voulu en parler avec ma modeste audience du festival en partageant photos et impressions. J'ai envoyé un mail au RP , qui m ' a répondu favorablement avec une prise en charge presse qui comprend le transport A/R par avion, l’hébergement et la restauration.  J'ai été considéré de la même manière que la presse. Pour un blogueur , c'était valorisant et je remercie Mr le chargé de presse pour son professionnalisme. J'étais content à l'idée de rencontrer les amis que je rencontre aux événements culturels et d'élargir mon cercle d'amis. C'est mon premier festival de cinéma que je couvre. A la 3 édition , j'ai le sentiment que nous sommes à l'édition 1, tellement on a un sentiment de désorganisation. Et celà commence par le minimum inform